Avec les poignées qui souffrent de la transpiration, du poids dû au contenu et du pliement lors du rangement, les coins du sac sont les autres endroits les plus importants d'usure, frottements dûs à l'emplacement et leurs protubérances, lors de l'utilisation et des déplacements et de la pose au repos même en tenant compte pour certains de leurs pieds de sac.
Les remèdes : l'entretien préventif du sac par le passage de produits appropriés, qui vont nourrir les fibres du cuir et protéger la fleur, particulièrement aux angles et sur le jonc passepoilé, pratiquement toujours présent et fait d'une âme en plastique, d'un ressort métallique recouvert de peausserie. La vision de ce plastique de ce métal apparent qui ressort aux coins sur de la bagagerie de haut luxe, est du plus désagréable effet esthétique.
Il est également possible de remédier de deux façons par des pièces à cet inconvénient. Mais faire le plus possible attention lors des déplacements à le frotter le moins possible aux choses et aux personnes, et le poser avec délicatesse.
Pour le sac et ses poignées, le rangement devra se faire sac suspendu par ses poignées et " bourré " de papier et non posé, ce qui provoque les deux inconvénients en même temps.
Les sacs restent parfois de longs mois dans ces mauvaises positions pour les poignées ce qui les coupent et leurs donnent des mauvais " plis " Ne pas les mettre côte à côte dans le cas de cuirs bookbindés qui se collent et se décolorent d'une manière irrémédiable. Ne pas les ranger dans des sacs en papier, l'imprimerie déteint également, les mettre dans des pochons en tissus comme les souliers.
La réparation ensuite est le seul remède, pratiquement une seule manière, celle décrite dans le sujet, une autre est possible, retourné le sac et faire une couture du même nom, couper le surplus de peausserie comportant les endroits usés et remettre le sac dans le bon sens.
c'est un peu de la torture pour le jonc supprimé, le volume du sac très réduit, l'esthétique sabordée.
Avec un montage différent sur certaines fabrication, cette solution est possible, la réparation est beaucoup plus facile elle comporte le seul inconvénient d'une légère réduction en hauteur , mais ce n'est pas une hérésie, puisque c'est une conception d'origine, elle ne dérange en rien.
La première photo nous montre une vue de l'usure, et du " passepoil " elle est la même aux quatre coins.
Choisir avec le client la peausserie la plus appropriée possible en, couleur, souplesse, grain, épaisseur et esthétique pour la propriétaire.
Après avoir défini le diamètre des pièces, avec un objet ou un compas, tracer au stylo argent les morceaux.
Les découper aux ciseaux.
Les couper pour pouvoir en faire des chapeaux et amincir la partie de jonction, chair et fleur.
http://tictac-cordonnier.blogspot.com/2012/02/parer-refendre-amincir-biseauter-les.html
les encoller et les coller pour en faire des dômes
Coudre la jonction de la pièce à la machine à coudre.
Les taper.
Encoller les coins avec générosité, pour que la colle se re dépose parfaitement sur les angles du sac pour une tenue parfaite sans débordement.
Encoller le sac en faisant attention de mettre peu de colle, c'est la pièce qui fera le nécessaire.
Encoller les coins avec générosité, pour que la colle se re dépose parfaitement sur les angles du sac pour une tenue parfaite sans débordement.
Encoller le sac en faisant attention de mettre peu de colle, c'est la pièce qui fera le nécessaire.
On positionne les coins, immédiatement sans aucun temps de séchage.
Les coutures sont faites à la machine à coudre, ce n'est souvent pas le plus facile, les sur épaisseurs du passepoil, de la doublure qui doit être cousue sans faire de plis etc...
Dans tous ces exemples avec liseret, les doublures sont cousues avec ce dernier en retourné, il est pratiquement impossible et il est déconseiller de la découdre. Pour tous les montages qui le permettent, il est bien entendu qu'il faut la découdre impérativement, pour la recoudre le travail effectué.
Les coutures finies, les taper avec amour et gentillesse, un mauvais coup de marteau coupe irrémédiablement la trame.
En faisant attention de mettre les coutures dans la même position.
Les coutures sont faites à la machine à coudre, ce n'est souvent pas le plus facile, les sur épaisseurs du passepoil, de la doublure qui doit être cousue sans faire de plis etc...
Dans tous ces exemples avec liseret, les doublures sont cousues avec ce dernier en retourné, il est pratiquement impossible et il est déconseiller de la découdre. Pour tous les montages qui le permettent, il est bien entendu qu'il faut la découdre impérativement, pour la recoudre le travail effectué.
Les coutures finies, les taper avec amour et gentillesse, un mauvais coup de marteau coupe irrémédiablement la trame.
Enlever le surplus de colle au crêpe.
http://tictac-cordonnier.blogspot.fr/2011/09/comment-enlever-la-colle.html
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Passer un peu de déforme au pinceau ou pas, la tranche de la peausserie, avait été fait au préalable.
http://tictac-cordonnier.blogspot.com/2009/10/la-deforme-traditionnelle-du-cordonnier.html
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