Bonjour,
Cela pourrait commencer comme un conte de fées , il était une fois , lorsque n'existaient que des cordonneries traditionnelles ...pour finir en cauchemar .
L'avènement de l'ère industrielle , avec les machines à coudre les tiges , 1856 , Leyman Reed Blake 1858 , Charles Goodyear 1874 , etc... a reléguer le statut de cordonnier bottier au rang de cordonnier réparateur, avec toujours la nécessité cependant des même compétences pour les réparations à un moment ou les colles n'existaient pas encore, ou d'un usage très limité dans leurs applications.
Plus tard l'arrivée des colles avec une utilisation restreinte, puis ensuite l'avènement des colles modernes ont fait basculer à chaque amélioration technique, la possibilité aux compétences moindres de s'immiscer dans le secteur de la réparation.
http://tictac-cordonnier.blogspot.com/2010/10/qui-peut-ouvrir-un-atelier-de.html
A cette époque les corporations syndicales donnaient comme population devant entourer une échoppe de cordonnier pour la faire vivre, à peu près 20000 habitants, en divisant certaines bourgades et villes par le nombre de cordonneries, on se rendait compte dans bien des cas du nombre considérablement trop important d'artisans pour faire vivre chacun d'eux décemment.
La passation des ateliers se faisant de l'apprenti, devenu ouvrier, parfois compagnon, pour prendre les rênes de la boutique à la retraite parfois très tardive du maître d'apprentissage, beaucoup d'ouvrier atteignait un âge assez avancé en attendant cette opportunité.
A cette époque les échoppes étaient humbles et vétustes sans modernisme, l'outillage et le matériel réduit, tout se faisait à la main, les loyers étaient ridicules, j'ai pu créer dans plusieurs grandes villes de France des ateliers de cordonneries performants, je pense pouvoir dire qu'il me serait impossible de le réaliser maintenant.
L'atelier de cordonnerie doit être maintenant, moderne, vaste, bien situé et agencé, avec un parc de machines outils important et performant, des loyers élevés, bref un investissement important dans tous les domaines.
Je l'évoquerai peut être dans un message " les couseurs "
http://tictac-cordonnier.blogspot.com/2011/10/les-couseurs-lorganisation-dun-atelier.html
Mais les cordonniers étaient souvent inscrits et membres de corporations syndicales, bénéficiaient d'une entraide importante inconnue de nos jours dans le domaine des coutures par exemple et chaque ville avait ses couseurs, point n'était besoin aux moins fortunés et aux petites échoppes d'investir coûteusement dans les nouvelles machines modernes.
Dans le domaine de l'entraide dans le travail, mais les exigences modernes du règlement du travail, n'existaient pas et les ouvriers, se " prêtaient " avec toutes les facilités et possibilités, pour quelques heures, quelques jours, avec le plus grand bonheur, pour tous surtout pour l'ouvrier qui faisait ainsi, son " tour de France ", obligé de travailler selon les désirs et les directives de son nouveau patron, avec tout ce que cela suppose comme enrichissement dans les connaissances et le savoir.
L'atelier de cordonnerie doit être maintenant, moderne, vaste, bien situé et agencé, avec un parc de machines outils important et performant, des loyers élevés, bref un investissement important dans tous les domaines.
Je l'évoquerai peut être dans un message " les couseurs "
http://tictac-cordonnier.blogspot.com/2011/10/les-couseurs-lorganisation-dun-atelier.html
Mais les cordonniers étaient souvent inscrits et membres de corporations syndicales, bénéficiaient d'une entraide importante inconnue de nos jours dans le domaine des coutures par exemple et chaque ville avait ses couseurs, point n'était besoin aux moins fortunés et aux petites échoppes d'investir coûteusement dans les nouvelles machines modernes.
Dans le domaine de l'entraide dans le travail, mais les exigences modernes du règlement du travail, n'existaient pas et les ouvriers, se " prêtaient " avec toutes les facilités et possibilités, pour quelques heures, quelques jours, avec le plus grand bonheur, pour tous surtout pour l'ouvrier qui faisait ainsi, son " tour de France ", obligé de travailler selon les désirs et les directives de son nouveau patron, avec tout ce que cela suppose comme enrichissement dans les connaissances et le savoir.
Dans les années 1955 j'ai vu un cordonnier précurseur, avec 49 ouvriers à l'atelier, 178 dépôts dans un département, Il a terminé son activité seul.
Contacté moi même, par le responsable d'une chaîne de pressing, 50 points de vente et de récolte dans un département , je lui avais prédit l'impossibilité d'une réussite, exigeant pourtant l'ouverture d'un dépôt par mois, pas plus, la formation pour la réception à mon atelier de la personne responsable et le paiement des réparations à ma livraison et non à celle de sa clientèle.
Le problème du paiement d'avance à la livraison est primordiale, la perte en gain est importante lorsque les clients, oublient, déménagent, malheureusement décèdent ou plus simplement ne veulent plus récupérer les souliers abandonnés depuis plusieurs mois, Ils nous les laissent en dépôt au changement des saisons, nous servons de garde meuble, ils tiennent ainsi beaucoup moins de place chez eux. J'en parle ici :
http://tictac-cordonnier.blogspot.com/2010/10/le-paiement-davance-arrhes-acompte.html
Je vois des clients exiger une réparation onéreuse et lourde malgré notre conseil impératif de ne pas effectuer la réparation, puis réfléchir à la demande du paiement et reprendre leurs chaussures, c'était du temps, de la matière première, de l'argent, et un client perdu.
Ce chef d'entreprise très sérieux , à notre grand regret respectif, n'a pas pu malheureusement tenir ses engagements, s'est excusé et à mis fin à son engagement, dommage cela aurait aurait pu être une expérience enrichissante, comme mon prédécesseur je suis retourné à ma solitude, à cela les deux raisons principales prévues, il suffisait qu'on ne vienne pas chercher quelque paires de chaussures que lui pourtant m'avait payées! La seconde encore plus importante " la réception " moment très important du travail, il faut un professionnel pour comprendre les désirs, prendre les mesures, conseiller, donner le montant de la réparation en cas d'arrhes ou de paiement d'avance, prévoir les surprises éventuelles, elles sont toujours mauvaises on le sait et préjudiciables au cordonnier.
Puis vinrent les années 70 , à ce moment la cordonnerie était florissante , des nationales ou multinationales ont transformé nos petites activités artisanales en activités financières, en réunissant plusieurs petits métiers pour en faire ces multi-services. Là, les critères à l'embauche : pas de compétences dans la profession , formation dans le cadre de l'entreprise, allez donc faire livrer à un ouvrier consciencieux un travail qu'il juge médiocre ou lui faire refuser certains travaux réalisables pour lui, mais déconseillés dans le cadre de ces magasins minutes, pas facile du tout! A cela vint s'ajouter donné par certaines grosses entreprises à leurs employés la possibilité de partir moyennant un pactole plus ou moins important; beaucoup en ont profité pour des raisons diverses, l'appât du gain, faire de leur avenir ce qu'ils espéraient depuis si longtemps, etc... Quoi qu'il en soit , il fallait quand même travailler ! beaucoup ont pris en exemples ces multi-services et la création d'activité dans beaucoup de secteurs de l'artisanat que permet la législation française, a donnée une concurrence importante.
Je vois des clients exiger une réparation onéreuse et lourde malgré notre conseil impératif de ne pas effectuer la réparation, puis réfléchir à la demande du paiement et reprendre leurs chaussures, c'était du temps, de la matière première, de l'argent, et un client perdu.
Ce chef d'entreprise très sérieux , à notre grand regret respectif, n'a pas pu malheureusement tenir ses engagements, s'est excusé et à mis fin à son engagement, dommage cela aurait aurait pu être une expérience enrichissante, comme mon prédécesseur je suis retourné à ma solitude, à cela les deux raisons principales prévues, il suffisait qu'on ne vienne pas chercher quelque paires de chaussures que lui pourtant m'avait payées! La seconde encore plus importante " la réception " moment très important du travail, il faut un professionnel pour comprendre les désirs, prendre les mesures, conseiller, donner le montant de la réparation en cas d'arrhes ou de paiement d'avance, prévoir les surprises éventuelles, elles sont toujours mauvaises on le sait et préjudiciables au cordonnier.
Puis vinrent les années 70 , à ce moment la cordonnerie était florissante , des nationales ou multinationales ont transformé nos petites activités artisanales en activités financières, en réunissant plusieurs petits métiers pour en faire ces multi-services. Là, les critères à l'embauche : pas de compétences dans la profession , formation dans le cadre de l'entreprise, allez donc faire livrer à un ouvrier consciencieux un travail qu'il juge médiocre ou lui faire refuser certains travaux réalisables pour lui, mais déconseillés dans le cadre de ces magasins minutes, pas facile du tout! A cela vint s'ajouter donné par certaines grosses entreprises à leurs employés la possibilité de partir moyennant un pactole plus ou moins important; beaucoup en ont profité pour des raisons diverses, l'appât du gain, faire de leur avenir ce qu'ils espéraient depuis si longtemps, etc... Quoi qu'il en soit , il fallait quand même travailler ! beaucoup ont pris en exemples ces multi-services et la création d'activité dans beaucoup de secteurs de l'artisanat que permet la législation française, a donnée une concurrence importante.
Mon maître d'apprentissage me disait " ce sont les derniers arrivés qui s'en vont les premiers " il a fallu quand même leur donner ce temps, dans la douleur. cela faisait la réunion de beaucoup de paramètres préjudiciables importants.
je ne connais que le coté cordonnerie , mais beaucoup d'activités ont été touchées et déstabilisées elles aussi par ce phénomène, mais définir quelles ont été les répercutions exactes ?
je ne connais que le coté cordonnerie , mais beaucoup d'activités ont été touchées et déstabilisées elles aussi par ce phénomène, mais définir quelles ont été les répercutions exactes ?
A cette époque responsable d'une corporation départementale et donc au courant et en contact du monde corporatif, j'ai vu énormément de cordonniers ricaner devant l'incompétence pour eux, de tous ces nouveaux artisans, pour eux sans qualifications et sans danger. D'autres, prévoyant que la vie et toutes choses sont cycliques, alors que tout était ensoleillé ont tout de suite adjoint à leur activité ces autres services.
Certains par précaution, ont voulu que leurs clients allant faire une clé ou d'autres travaux, trouvant ailleurs ce qu'ils ne trouvaient pas chez eux, ne cèdent à la tentation, ils ont fait en sorte pour que leurs chalands trouvent les mêmes services dans leurs boutiques " il est d'ailleurs toujours regrettable de voir les bons travaux simples et rémunérateurs être faits ailleurs et ne faire que les travaux difficiles, pénibles longs, rarement rentables.
Dans les années 80, les nuages vinrent assombrir la cordonnerie, je n'ai plus en tète les chiffres exacts, mais les fermetures journalières de cordonneries étaient impressionnantes! Certains ont tentés de prendre le virage en cours de route, mais souvent trop tard. A Paris, tout est différent par rapport à la province et en campagne, je crois qu'ils ont vécu ces événements plus sereinement.
Avec les années internet, paradoxalement notre vieux métier ancestral y trouve son compte pour ceux qui veulent s'en donner la peine et les moyens, des débouchés merveilleusement efficaces, par rapport à certains pans commerciaux modernes qui basculent et s'effondrent.
Certains par précaution, ont voulu que leurs clients allant faire une clé ou d'autres travaux, trouvant ailleurs ce qu'ils ne trouvaient pas chez eux, ne cèdent à la tentation, ils ont fait en sorte pour que leurs chalands trouvent les mêmes services dans leurs boutiques " il est d'ailleurs toujours regrettable de voir les bons travaux simples et rémunérateurs être faits ailleurs et ne faire que les travaux difficiles, pénibles longs, rarement rentables.
Dans les années 80, les nuages vinrent assombrir la cordonnerie, je n'ai plus en tète les chiffres exacts, mais les fermetures journalières de cordonneries étaient impressionnantes! Certains ont tentés de prendre le virage en cours de route, mais souvent trop tard. A Paris, tout est différent par rapport à la province et en campagne, je crois qu'ils ont vécu ces événements plus sereinement.
Avec les années internet, paradoxalement notre vieux métier ancestral y trouve son compte pour ceux qui veulent s'en donner la peine et les moyens, des débouchés merveilleusement efficaces, par rapport à certains pans commerciaux modernes qui basculent et s'effondrent.
Tout ce long discours, pour vous dire de ne pas suivre les jugements à l'emporte pièce de certains amateurs de chaussures qui lorsqu'ils voient un artisan réparer autres choses que des chaussures, le considèrent comme mauvais, d"être prudents , devant certaines " cordonneries multi-services " certaines abritent des professionnels compétents .
Sans être devin, je prédis mis a part de rares exceptions ou des situations particulières, l'obligation pour l'artisan cordonnier qui voudra survivre, beaucoup l'ont déjà fait, d'adjoindre la vente d'accessoires et si il en a les compétences, la réparation de la maroquinerie, la bagagerie, la sellerie, il pourra aussi faire en service, cartes de visites, gravures, timbres, clé, coutellerie, onglerie, cisellerie, affutage, parapluies, etc...
Les SAV des grands revendeurs, l'agréments des marques et fabricants, sinon ces entreprises seront vouées à l'échec.
Les SAV des grands revendeurs, l'agréments des marques et fabricants, sinon ces entreprises seront vouées à l'échec.
Les multi-services, leurs dirigeants sont des personnes intelligentes, ils nous ont montré une voie, faisons au moins aussi bien qu'eux, nous devons et devrions avoir normalement en plus les qualifications et les compétences.
Face à une perte de compétences d'une manière générale dans l'artisanat, à un manque de transmission des connaissances et des savoirs, j'entends le discours de quelques uns car au royaume des aveugles les borgnes sont rois, qui se prennent pour des génies, nous ne sommes simplement que des ouvriers compétents, pas des chirurgiens en cardiologie ou neurologie, qu'on me pardonne la comparaison " inadéquate ", un médecin qui soigne un rhume est chose quand même normale, d'autant plus qu'il se soigne normalement tout seul, ce n'est pas un miracle on peut s'émerveiller pour une technique de pointe au cerveau, pas pour une paire de chaussure faite main.
Ou en sont nos compétences et notre savoir dans l'artisanat, l'autre jour un documentaire sur la cinq , sur le " neuf " le mesure " devenait une oeuvre d"art exceptionnelle, c'est ce que pourtant nous faisions simplement chaque jour à atelier .
Ou en sont nos compétences et notre savoir dans l'artisanat, l'autre jour un documentaire sur la cinq , sur le " neuf " le mesure " devenait une oeuvre d"art exceptionnelle, c'est ce que pourtant nous faisions simplement chaque jour à atelier .
Attention, le médiocre maintenant est devenu bon, Le bon exceptionnel, et l'exceptionnel miraculeux .
J'ai écrit ce post sous d'autres cieux le 29/11/2008
Très amicalement .
Tictac le besogneux .
"J'ai écrit ce post sous d'autres cieux le 29/11/2008" mais c'est toujours un plaisir que de pouvoir relire, surtout sous un ciel serein. ;0)
RépondreSupprimerbonsoir Raro,
RépondreSupprimerSouhaitons que cela continu, et qu'ils soient sereins partout.
Très amicalement.
Merci pour cet article intéressant. Pourriez-vous dire dans quel secteur géographique vous exercez car je ne le vois pas sur votre profil ?
RépondreSupprimerBonsoir,
RépondreSupprimermerci de lire le blog, c'est vrai je n'ai rien mis sur mon profil, le plus " intéressant " c'est peut être ce que j'ai connu, et ce que j'en raconte, ce que je suis n'a pas grand intêret, mais je l'ai dit je crois sur le blog, j'ai créé de toutes pièces, jamais de reprises d'activité, dans plusieurs grandes villes de France, dans plusieurs régions, 7 Cordonneries si mes souvenirs sont bons.
très amicalement.
Bonjour,
RépondreSupprimerj'ai un grand plaisir à lire votre blog et continuer d'apprendre par vos remarques et votre expérience. Je fais justement parti des Multi-services dans une chaine de cordonnerie (Mister... ) depuis 12 ans bientôt, et à Paris dans un petit stand. En ce moment je fouille partout où des informations pleuvent pour en apprendre plus sur la création de chaussures, que je n'apprends pas par la boite qui m'embauche car on est limité en général à la réparation. Mais votre blog me permet d'affiner certaines connaissances et argumentaires et ça c'est plus qu'appréciable. Alors chapeau pour votre présence ici et continuez à nous apprendre des astuces.
... J'ai lu votre blog à l'envers, aujourd'hui nous sommes en Mars 2012/
Bonjour Grégory,
SupprimerMoi aussi j'ai un grand plaisir à savoir que vous venez lire sur le blog, que vous venez des multiservices me va droit au coeur.
En effet certains pourraient penser à une forme de ( rivalité ) entre ces secteurs de la réparation. C'est pour moi une erreur, j'ai des amis et des contacts régulier, avec le monde des multi services.
Ce sont des vases communiquant, des ouvriers cordonniers se dirigent parfois dans cette direction, les employés des autres ( s'évadent ) me demandent des conseils pour venir grossir les rangs de l'artisanat traditionnel.
Je l'ai dit dans un autre sujet, tous mes enfants ont appris le cordonnerie, même si tous ne l'exercent pas.
Un amis à la direction d'une chaîne de ces magasins, en manque d'ouvrier, me demandait de lui ( prêter ) mon jeune fils pour quelques temps.
Ce dernier, jeune, ronchon et grognon, ne voyait aucune nécessité de changement, pensant n'avoir rien à gagner, ni à apprendre de ce secteur
Moi au contraire très partisan, sur mon insistance et mes conseils, mon fils à rendu les armes pour aller faire les siennes en multir sevices.
Quelques temps plus tard, mon ami me complimentait sur mon cadet, me disant apprendre lui et ses ouvriers à son contact, une cordonnerie plus traditionnelle.
Mon fils n' a jamais voulu reconnaître dans ce nouvel apprentissage, des connaissances nouvelles, pourtant ce passage l' a beaucoup enrichi ainsi que notre atelier.
On a toujours à apprendre de l'autre, et de sa différence.
A bientôt, bonne route dans la cordonnerie.
Très amicalement.
Bonsoir
RépondreSupprimerje cherche une rainette avec guide neuve ou d'occasion en bon état
pour utilisation formation chaussures bottier.
Me contacter lucien.avucci@gmail.com
Bonsoir,
RépondreSupprimerAvec la meilleure attention je ne comprends pas bien ce que vous attendez de moi.
Je ne vends pas de rainette.
Ou alors une adresse ? Si c'est le cas, les crépins, le bon coin, Ebay, les pages jaunes avec les adresses des magasins de matériel neuf et d'occasion, un clic sur internet, etc...
Très amicalement.
Monsieur,
RépondreSupprimerVous êtes un puits de connaissance et c'est un plaisir de vous lire, mais me permettriais-vous de revoir certains textes et formulations ? Cela a l'avantage de ne pas nécessiter de relative proximité géographique.
Bien à vous cher Tictac,
Sylvain Roussel
Me permettriez... la honte... quand même un peu bizarre ce verbe :/
RépondreSupprimerEt quelle différence faites-vous entre le neuf et la mesure ?
RépondreSupprimerBonjour,
RépondreSupprimerMerci pour vos commentaires.
Le neuf en formulation ancienne est la fabrication de chaussures entièrement montées main, mais sur des formes à monter d'industries.
Mesure, sur des formes à monter à la mesure des pieds du client ( prises des mesures )
N'oublions pas que faire des chaussures sur mesures regroupe plusieurs professions.
Formier, coupeur, piqueur, bottier.
Certains bottiers savent les faire toutes!
Très amicalement.
Salut tictac c'est ERICK toujours" Pégot".
RépondreSupprimerBonjour ERICK,
SupprimerOui toujours pégot, je ne sais pas pour combien de temps encore car ça devrait être fini depuis longtemps.
Merci pour la visite et l'interrogation.
Très cordialement.
Bonjour monsieur,
RépondreSupprimerJe viens de lire cet article et il m'a fortement intéressée !
En faite je suis étudiante et je ne me plais pas du tout dans mes études actuelles, la cordonnerie multi-services m'attire énormément, mais j'ai peur de me tromper une fois de plus. Pourriez vous me renseignez sur la "routine" de ce métier ? Qu'elle est votre activité première dans votre atelier ? Est-ce que les rapports sociaux avec les clients sont importants ? Est ce que la partie administrative est conséquente ? Voilà ce sont quelques unes des questions que je me pose.
Je vous serez très reconnaissante de me répondre.
Merci d'avance !
Cordialement.
Bonjour,
SupprimerC'est avec grand plaisir que je répondrais à vos demandes, vous trouverez mon adresse mail figure dans mon profil, j'aimerais vous répondre en privé.
Très amicalement.
Merci tic-tac pour vos conseils. Je lis et dévore votre blog avec attention.
RépondreSupprimerMerci